Detective privé SENEX à Paris

Informations générales

Annonce déposée le 17/04/2024

Détail de l'annonce

Detective privé SENEX est une agence de détectives privés implantée à Paris. Créée en 2003, SENEX Détective privé propose des services d’investigations et de filatures aux professionnels et aux particuliers dans le but de défendre leurs intérêts légitimes. Toutes les missions acceptées par l’agence doivent être légales et légitimes. Elles peuvent concerner le droit commercial dans des affaires de concurrence déloyale, le droit de la propriété intellectuelle dans des dossiers liés à la lutte contre la contrefaçon ou bien encore le droit de la famille dans des enquêtes liées au divorce ou la protection de l’enfance.

Il est difficile de dresser une liste exhaustive des prestations que propose une agence de détective tant leurs champs de compétence est large. Pour plus de précisions il est donc conseillé de se rendre directement sur le site web de l’agence de detective privé SENEX.

L’agence reçoit uniquement sur rendez-vous du lundi au samedi de 8h30 à 19h. Elle est fermée le dimanche. Les consultations sont payantes.
Un parking se trouve à proximité des bureaux parisiens du cabinet SENEX Detective pour pouvoir garer un véhicule. L’accès par les transports en commun est encore plus simple d’une certaine manière.

L’agence dispose d’une autorisation d’exercer délivrée par le CNAPS, Conseil national des activités privées de sécurité, son dirigeant dispose d’un agrément de dirigeant d’entreprise d’enquêtes privées comme le code de la sécurité intérieure l’y oblige.

Pour toute question il est préférable de contacter l’agence directement par téléphone ou par courriel à l’aide du formulaire de la page contact. Le standard vous orientera vers l’enquêteur le plus compétent pour répondre à votre question.

Les détectives privés sont soumis au secret professionnel et leurs rapports d’enquête sont recevables devant toute juridiction, la jurisprudence étant constante en la matière depuis un arrêt de principe de la Cour de cassation de 1962.

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