Psychologue spécialisé en gérontologie

Informations générales

Annonce déposée le 24/03/2024

Détail de l'annonce

Psychologue clinicien spécialisé en gérontologie depuis 25 ans, j'ai ouvert il y a peu ma pratique de psychologue en-libéral ‘’A DOMICILE’’ de PERSONNES ÀGÉES EN SITUATION DE MOBILITÉ (pour cause de troubles cognitifs majorés, maladie d’ Alzheimer ou apparentée, dépression sévère, handicap physique/moteur, suivi post hospitalier...).
Pratique psychologique qui se déclin diversement selon les situations (entretiens ou dialogue cliniques à visée thérapeutique, mobilisation cognitive, accompagnement psychologique, relance d'une activité de pensée, travail à partir de l'expression des affects...)

De multiples raisons peuvent conduire, dans l’avancée en âge, à souhaiter entamer un travail psychologique. Ces causes renvoient assez fréquemment soit à des pertes sur/dans le corps (incluant les atteintes cognitives), lesquelles peuvent générer une inquiétude tenace, de l'anxiété, des expressions d’angoisse, un vécu à tonalité dépressive, aussi un repli sur soi… ; soit à un évènement douloureux à vivre comme la perte d’un être cher et son deuil difficile, une série de chutes, l’installation en EHPAD…

Il est également des personnes souffrant d’une pathologie neuro-dégénérative (maladie d’Alzheimer, maladie à corps de Lewy, maladie de Parkinson…) pour lesquelles, à une phase avancée de leur atteinte, on ne peut prétendre qu’à des perspectives plus modestes.
Je propose notamment un travail d’accompagnement psychologique de la personne au travers de ce qu’elle perçoit et éprouve en elle/autour d’elle, ainsi que des processus psychiques mobilisés dans cette évolution de la pathologie. L’ambition première sera l’apaisement (intérieur) de la personne.

Ce qui est attendu de ce cheminement personnel est, à tout le moins, une atténuation de l’influence négative de ce qui fait difficulté, et donc de la souffrance, ainsi que la réduction de la teneur de l’anxiété au quotidien. Les effets de ce dénouement peuvent se décliner entre un mieux-être, la reprise de liens, un regain d’intérêt pour des activités, la redécouverte d’un sens à sa vie et aux choses...

A domicile même, la rencontre avec quiconque très proche (notamment l'aidant-principal) de la personne considérée, est également possible. Sa demande à rencontrer un ‘’psy’’ fait écho et à un questionnement sinon à une remise en question, et à un mal-être (plus ou moins explicite ou évident), le tout lié à la situation d’accompagner au quotidien (sinon très régulièrement) son parent âgé.

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