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Besoin de consulter un spécialiste santé sans s’énerver à chercher une disponibilité ?

Besoin de consulter un spécialiste santé sans s’énerver à chercher une disponibilité ?

Et si on vous envoyait les rendez-vous de consultation santé adaptés en temps et en distance à vos besoins au lieu que vous perdiez votre temps et énergie à les chercher et à ne trouver que ceux éloignés en temps et en distance ?

 

Découvrez L’histoire « numérique » d’une dégradation des services publics et santé

 

Le numérique a révolutionné notre quotidien pour plein de bonnes raisons mais dans certains cas, il a apporté également son lot d’inconvénients à la fois pour l’individu et pour la collectivité. Ses inconvénients sont principalement dus à la recherche de plus de gains avant de penser à plus d’efficacité et à plus de respect de l’environnement comme les histoires ci-après le racontent.

 

 

Dégradation des services santé

 

C’est l’histoire d’un enfant dans les années 1970 – ce pourrait être vous ou un membre de votre famille mais là en l’occurrence c’est l’histoire d’un des membres du service A.me – qui a soudainement eu une allergie avec des plaques sur le corps. Sa mère l’emmène alors rapidement chez le docteur de famille. Ce dernier leur dit qu’il faut consulter un dermatologue. Il les rassure comme savait bien le faire les médecins de famille de l’époque et propose de leur prendre un rendez-vous dans les jours à venir chez un confrère dermatologue qu’il connait bien. Et voilà, l’enfant est pris en charge.

 

Aujourd’hui, c’est ce même « enfant » de plus de 60 ans qui a de nouveau besoin d’un dermatologue. Son jeune nouveau médecin traitant ne s’occupe pas de prendre rendez-vous chez un dermatologue sachant bien qu’ils sont complètement surchargés. Lui ou son service externe de secrétariat - qui refuserait de toute façon - devrait passer beaucoup trop de temps à obtenir un rendez-vous. Il suggère donc juste à ses patients d’utiliser, comme pour ses propres rendez-vous, les sites web comme Doctolib, Maiia, …  qui gèrent désormais les rendez-vous des praticiens de santé.

 

Bon qu’à cela ne tienne, « l’enfant de 60 ans » confiant s’y attèle ; mais les premiers rendez-vous proposés par ces sites ne sont que dans 4 mois et encore à plus de 60 kms de chez lui ! il en réserve un en pensant tout de même qu’il trouvera mieux ensuite ; et il clique et il clique et il clique sur tous ces sites de rendez-vous jour après jour; ça l’obsède tellement que ses démangeaisons s’aggravent et il doit aller aux urgences où sa prise en charge s’avère médiocre et il doit toujours trouver un dermatologue pour la suite !

 

Cette histoire aurait pu être la même pour une urgence ophtalmologique comme celles décrites dans l’article Urgence ophtalmologique - Informations (terre-des-seniors.fr) avec le même niveau de frustration et angoisse puisque les ophtalmologues ont le triste record du délai moyen le plus long d’attente de consultation.

 

 

Dégradation des services publics

 

Cette historie est également la même pour renouveler sa carte d’identité ou son passeport : il y a 30 ans, vous alliez à votre mairie et 3 semaines plus tard vous aviez votre carte d’identité ou votre passeport.

 

Maintenant, vous devez aller sur un site web gouvernemental ou un site web de mairie ; vous obtenez alors un premier rendez-vous des mois plus tard et, là aussi, bien souvent loin de votre domicile !

 

Pour trouver mieux car vos vacances à l’étranger approchent, il faut passer son temps sur les sites en espérant un désistement ou l’ouverture de nouveaux rendez-vous.

 

 

Accroissement de l’impact négatif sur l’environnement

 

Et le pire dans tout ça, c’est que votre rendez-vous pris est finalement loin de chez vous et une autre personne qui a fait la même démarche quelques heures après vous en a trouvé un près de chez vous, mais loin de chez lui.

 

Donc écologiquement parlant, on consomme du numérique et de l’essence à cause de services web inefficaces à un besoin précis et inadaptés à une économie verte !

 

Les services web sont désormais exclusivement basés sur l’audience au détriment de l’efficacité immédiate et de la réduction énergétique absolument vitale à la préservation de l’environnement pour nos petits-enfants et arrière-petits-enfants.

 

 

 

Découvrez l’histoire qui s’écrit d’une réponse verte

 

Le Service A.me (prononcer « apointme » - www.a-pointme.com) dénonce et améliore ces pratiques inefficaces et consommatrices du web en proposant des approches nouvelles vertes d’utilisation des services web.

 

 

Accélérons la fin d’un modèle économique du web inadapté

 

Le modèle économique web actuel dominant consiste à capter des utilisateurs, à faire en sorte qu’ils passent un maximum de temps sur un site web ou un réseau social et qu’ils reviennent le plus souvent : cela permet d’être mieux rémunéré en publicité et d’être mieux considéré par ses clients – et donc de leur vendre plus et plus cher car c’est le passage obligé ! -. L’avènement de l’intelligence artificielle est d’ailleurs en train d’amplifier la dépendance des services web à ce modèle hégémonique.

 

Mais comment rendre efficace ses services web avec des modèles verts qui réduisent notre impact énergétique sur la planète à l’heure où le numérique représente désormais plus de 3% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, auquel il faut ajouter l’impact de la fabrication, la contamination chimique, l’érosion de la biodiversité, la production/retraitement de déchets électroniques et les conséquences de l’inefficacité de bon nombre de services dans l’augmentation des transports ?

 

Notre constat initial a été que des sites de rendez-vous de santé doivent servir des rendez-vous de santé et pas du temps passé sur le site : malheureusement pour qu’un Doctolib ou Maiia incitent plus de clients – les professionnels de santé – à acheter ses services, ils doivent montrer qu’ils ont une forte audience en tant que site et ceci est facilement vérifiable avec les outils de popularité des moteurs de recherche. C’est d’ailleurs ce que les commerciaux de ces sites montrent à leurs prospects pour les convertir en clients.

 

Un site de prise de rendez-vous de passeport ou autres papiers administratifs ne devrait pas suivre ce modèle car il s’agit d’un service public ; mais plus personne dans le public ne prend le recul nécessaire pour contrer le modèle actuel, et les réflexions sont centrées en ce moment sur la préservation des données personnelles que ce modèle met à mal, pas sur le modèle lui-même.

 

Vers un nouveau modèle d’entraide A.me

 

Dans la première phase du service A.me lancée en septembre 2023, vous enregistrez votre besoin une fois via un simple formulaire et en retour vous recevez les propositions de rendez-vous de consultation santé ou administratifs dont vous avez besoin : pas la peine de chercher des disponibilités, le service vous les envoie toutes dès qu’elles existent. Et donc pas la peine de perdre votre temps à revenir sans cesse sur des sites, vous recevez également les nouveaux rendez-vous et ceux réouverts à la suite de désistement.

 

Dans la seconde phase, les usagers eux-mêmes partageront et échangeront les résultats de leur recherche dans un mode participatif comme le font les membres du service actuellement pour optimiser la diffusion et les déplacements.

 

Dans la troisième phase, un réseau social dédié d’entraide accentuera le partage et l’échange sans que l’on ne cherche ni à vous capter ni à vous garder, mais seulement à ce que chacun consomme le moins possible en temps et en distance pour répondre à son besoin initial.

 

 

Le blog et la page Facebook Communauté A.me du service explique les réflexions, la démarche et les objectifs en donnant en chiffre les mesures et analyses réalisées régulièrement.

 

N’hésitez pas à nous faire part à info@a-pointme.com de vos suggestions, idées, réflexions sur le service A.me et sur les modes verts d’utilisation du web que vous souhaitez.

Chez A.me, nous pensons que chacun a désormais un rôle à jouer à son niveau pour préserver la planète et la vie de nos descendants.

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